Photos

Quelques étapes...


photo 1


Ebauche du "pied" de la lampe
De gauche à droite... ovalisation... pied pincé sur les traversées... évasement de la base
Au premier plan fils des traversées réunis... queusot


photo 2


Petit bataillon d'ampoules au garde-à-vous




La triode type TM devait sa forme sphérique à la reconversion, à son bénéfice, de l'outillage réalisant des ampoules d'éclairage.

Ceci n'offre pas d'avantage décisif si ce n'est d'éloigner quelque peu le verre de la plaque susceptible de rayonner plus ou moins de calories, et encore cela ne pouvait vraiment correspondre qu'au cas de l'émission où certains la portaient au rouge.

Par contre le volume intérieur est très supérieur à celui de la simple forme tubulaire, qui deviendra le standard, et contient d'autant plus de molécules d'un air résiduel qui est toujours prêt à s'ioniser...

Au terme d'essais sur diverses ampoules nous avons conservé le simple tube, notre but n'étant pas de faire joli mais efficace...


photo 3

Ci-dessous... tube démontable, sur la pompe moléculaire, le tout bien entouré par plusieurs instruments de mesure... Vp... Vf... Ip...etc.


photo 4





photo 5


photo 6


Début du montage des électrodes...


...assemblage terminé


photo 7


photo 8


Trio de triodes en attente de pompage


Après pompage




photo 9 Modèle dont la plaque est munie d'ailettes pour en augmenter la dissipation
Triode avec anode conventionnelle, diamètre 10 mm par 15 mm de long
Le culot est moulé en D.A.P. (diallyl-phtalate renforcé de fibres de verre), matière plastique qui a dominé le monde de la connectique entre 1955 et 1975...
photo 10




photo 11


Une fois le tube vidé il reste à le séparer du queusot grâce à deux petits chalumeaux...



complément du 06/10/2005


photo 13


Réalisation de l'ampoule... partant d'un simple tube, étirage d'une "pointe", casse de celle-ci suivie d'une régularisation de la face. Remise en forme ronde et enfin soudure du queusot...





photo 14


Les "pieds", une fois munis des traversées, sont plongés dans l'eau et soumis à un essai d'étanchéité sous une pression de 1,5 à 2 bars d'air comprimé. Cet essai, au demeurant assez rustique, s'est montré très fiable, la plus minime fuite étant très aisément détectée...bulles...





photo 15


Mise en place de la plaque par soudure sur une prolongation de la traversée dans le pied. Pour une partie des opérations d'assemblage ce dernier est fixé sur un support orientable.





photo 16


Des chauve-souris au repos... ? ... Non des pieds équipés, en attente de recevoir l'ampoule.





photo 17


La panoplie du petit chimiste... de quoi dégraisser, décaper... faire briller.





photo 18


Coupure du queusot... Opération délicate qui peut se terminer mal en cas de précipitation. Ne sont pas présents sur cette photo les écrans thermiques qui permettent un chauffage progressif de la partie en cause. Les deux mini-chalumeaux peuvent tourner autour du queusot afin d'obtenir une élévation régulière de température sur toute la périphérie du queusot.




photo 19 Dégazage de la plaque par H.F. Le passage au rouge, visible ici, est obtenu avec une puissance très modérée.Au régime maximum la destruction de la plaque se produirait en quelques instants.
Version définitive (... ? ...) Par rapport aux premières triodes :
  • suppression de la perle de verre
  • ajout du radiateur en haut du filament
  • fixation-centrage par lamelles en U
  • arceau de centrage en partie haute
  • verrerie plus longue de 5mm
  • ... ? ...
Plus une foule de petits détails...On ne va quand même pas tout vous dire...
photo 10




photo 12


Au second plan le VFO... avec face avant en aluminium bouchonné, hommage à F3LG, avec l'amplificateur push-pull classe B, le tout sur les "boites à sardines" chères à J.NAEPELS

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