La triode type TM devait sa forme sphérique à la reconversion, à son bénéfice, de l'outillage réalisant des ampoules d'éclairage.
Ceci n'offre pas d'avantage décisif si ce n'est d'éloigner quelque peu le verre de la plaque susceptible de rayonner plus ou moins de calories, et encore cela ne pouvait vraiment correspondre qu'au cas de l'émission où certains la portaient au rouge.
Par contre le volume intérieur est très supérieur à celui de la simple forme tubulaire, qui deviendra le standard, et contient d'autant plus de molécules d'un air résiduel qui est toujours prêt à s'ioniser...
Au terme d'essais sur diverses ampoules nous avons conservé le simple tube, notre but n'étant pas de faire joli mais efficace...
Ci-dessous... tube démontable, sur la pompe moléculaire, le tout bien entouré par plusieurs instruments de mesure... Vp... Vf... Ip...etc.
Début du montage des électrodes...
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...assemblage terminé
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Trio de triodes en attente de pompage
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Après pompage
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Modèle dont la plaque est munie d'ailettes pour en augmenter la dissipation | |
Triode avec anode conventionnelle, diamètre 10 mm par 15 mm de long Le culot est moulé en D.A.P. (diallyl-phtalate renforcé de fibres de verre), matière plastique qui a dominé le monde de la connectique entre 1955 et 1975... |
Dégazage de la plaque par H.F. Le passage au rouge, visible ici, est obtenu avec une puissance très modérée.Au régime maximum la destruction de la plaque se produirait en quelques instants. | |
Version définitive (... ? ...) Par rapport aux premières triodes :
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